Les “grands ensembles”, réalisations architecturales et emblématiques de l’aménagement du territoire et de la planifications urbaine, ont toujours fait l’objet d’une politique visuelle spécifique. Dès 1945, le contrôle de l’image des grands chantiers de reconstruction s’impose et les institutions intègrent des services photographiques et cinématographiques en leur sein. Ayant pour but principal de défendre les politiques adoptées, ils seront plus tard les grands témoins aussi bien de la ruine du projet social que de la reconnaissance de l’héritage architectural.

70 ans plus tard, la réalité virtuelle grand public est venue bouleverser la communication institutionnelle et commerciale et s’est imposée en 5 ans comme l’un des grands outil de la transformation digitale de l’immobilier neuf. L’objectif va cette fois bien au-delà en re-mettant le client / l’usager au centre des préoccupations, la communication visuelle vise autant à commercialiser et personnaliser tout projet – quelque soit la taille – qu’à marquer l’empreinte de ces ensembles hors normes. Hier “cités dortoirs”, ces projets d’envergure sont aujourd’hui des éco-quartiers ou des grands ouvrages, intègrent la mixité d’usages et sont d’une dimension plus humaine. Dès 1980, on ne parlera même plus de “grands ensembles”, terme désuet dont la symbolique reste l’échec d’une politique urbaine et sociale qui n’a pas su s’adapter avec le temps. 

 

Les grands ouvrages 2.0

Pourtant des grands ouvrages, il en sort toujours de terre. Le besoin en logements dans les zones tendues et le million de logement manquant en France, on ne peut se contenter uniquement de petites promotions. Certaines zones demandent à être remodelées dans leur entièreté et voient naître des ensembles urbains sur plusieurs hectares parfois en plusieurs phases. Il devient dès lors très compliqué de communiquer efficacement dans le temps et face à plusieurs cibles que sont les élus, les riverains, les futurs acquéreurs et les futurs usagers ! La réalité virtuelle et les outils 3D répondent à ces contraintes fortes en permettant, à budget maîtrisés, de relever ces défis. De la Cité de la Muette à Drancy ou la Cité des Etats-Unis à Lyon, nous sommes passé à des projets urbains hétérogènes, aérés, évolutifs et mixtes comme celui l’Île de Nantes qui porte sur 350 hectares et regroupe les problématiques de logement, de travail, d’études, de tourisme et de mobilité. Des éco-quartiers voient également le jour comme l’emblématique Clichy Batignolles qui s’étend sur 54 hectares dans le 17ème arrondissement de Paris, une zone d’activités majoritairement logistiques et ferroviaire qu’il aura fallu entièrement repenser…et promouvoir ! 

 

Valoriser dans un environnement urbain déjà dense

Pitch Promotion a ainsi utilisé les outils 3D Habiteo pour valoriser le projet Prysme à Clichy. La réalisation emblématique est signée Jean-Michel Wilmotte – dont les réalisations s’égrainent de Séoul à Sao Paulo, que ce soit éco-quartiers, centres culturels ou restauration de l’emblématique Hôtel Lutecia à Paris – et située au plus proche des transports et centres d’activités. 

Ce sont plus de 200 logements, dans un environnement urbain très dense qu’il a fallu mettre en valeur. Notamment en mettant l’accent sur certains appartements d’exception disposant d’une terrasse en attique dévoilant des vues uniques sur Paris. Notre architecte d’intérieur a accompagné les équipes marketing de Pitch Promotion pour travailler au mieux les ambiances, la décoration d’intérieur visant une clientèle Premium et des matériaux et prestations haut-de-gamme. 

 

Valoriser la mixité des usages

Kaufman & Broad a mené l’opération Quai Starlette en co-promotion avec Stradim. C’est quasiment un quartier entier qui a ainsi été créé à Strasbourg, réunissant des projets de commerces, de bureaux et de logements. Les solutions 3D Habiteo ont été utilisées pour donner vie à un quartier qui n’existait pas encore. Les plus de 250 logements ont également vus leurs décorations d’intérieur travaillées minutieusement de concert avec les deux promoteurs. Des réunions de travail régulières, un pilotage du budget et un contrôle qualité rigoureux a permis de donner vie au projet à travers : 

 

Valoriser plusieurs bâtiments et les espaces paysagers

Pitch Promotion a souhaité lancer le projet Artchipel, à Asnières sur Seine, en plusieurs phases. Le promoteur a donc eu besoin d’outils 3D permettant de projeter ses clients en plusieurs temps. D’une dimension de 350 lots, le projet se réparti sur pas moins de 17 bâtiments. Dans cet environnement de fait très minéral, il a fallu remettre en valeur la partie paysagère avec les jardins et espaces communs, que l’on retrouve grâce à des points de vue piétons 3D à 360°.

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